Fun Facts 9

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janvier 2022

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Fun Facts 9

Suspicious bagdes


Alors que nous avons fêté le 8 janvier l’anniversaire de notre saint patron Elvis, nous avons une pensée particulière pour son manager, le Colonel Tom Parker. Connu pour son peu de scrupule, celui à qui l’artiste estimait devoir sa célébrité était aussi un génie du marketing dans ce qu’il a de plus cynique : il déposa très tôt la marque Elvis Presley et développa des dizaines de produits dérivés, parfois inattendus, comme ces badges « I hate Elvis », histoire de faire de l’argent même avec les détracteurs de la star. Une astuce qui pourrait donner à certains de (mauvaises) idées en période électorale…
Sources Wikipedia via @SteveStuWill


Et vous, c’était à tu ou à toi autour du sapin ?


Si en agence on a toujours eu le tutoiement facile, c’est même un cliché du métier de la publicité (#tbt Les Inconnus), on observe que l’usage du vouvoiement diminue sur bien des terrains. Que ce soit au sein du milieu familial, professionnel ou associatif, ce glissement dans le choix du terme d’adresse a tendance à se généraliser. Sous-tendue par des codes sociaux et éducatifs, boostée à certaines époques (Révolution, guerre, mai 68) et dans certains univers (bonjour la start up nation, bonjour les réseaux sociaux), cette préférence est aussi une affaire de sentiment personnel qui engage notre relation à l’autre et dit beaucoup de nous. Aujourd’hui encore, 80% des gendres et des brus vouvoient leurs beaux-parents, souvent par choix, même s’ils sont invités au contraire, en une forme de défense de leur territoire. A méditer à l’heure où vouloir paraître plus branché et plus proche du consommateur amène nombre de marques à inscrire le tutoiement systématique dans leurs codes de communication.
Sources Etienne Kern Le tu et le vous, l’art français de compliquer les choses via Michel Feltin-Palas Sur le bout des langues in lexpress.fr


Spoilert alert pour pas avoir mal au bout


En général, on n’aime pas se faire spoiler la fin d’un film ou d’une série qu’on n’a pas encore vu. Mais pour ceux qui n’aiment pas les (mauvaises) surprises, ou qui redoutent certains types de scènes, il existe désormais une solution. Go check Does The Dog Die, dont le principe est de crowdsourcer les spoilers émotionnels et nous éviter les contenus auxquels on ne souhaite pas être exposé (ou exposer ses enfants). On choisit le type de support (film, série, livre…), on saisit le titre et on sélectionne le genre de scène indésirable, ça va du petit chat est mort au cannibalisme, en passant par les piqûres et le Père Noël n’existe pas, et nous voilà prévenus des passages à éviter. Spoiler alert, c’est tentant mais inutile de taper 2022.
Source ladn.eu

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